Lecturophilie ou l’envie de lire

Ayant eu l’envie soudaine de lire quelque chose à la fin de cet été, une envie de début de conscience adulte pour ce qui est de l’art et de la littérature en général sachant que tout ce que j’avais lis avant n’était que des romans obligés par l’école.

Je crois que cette envie vient en fait du fait que j’avais une camarade de classe assez cultivée et qui avait de la passion pour la lecture, donc comme l’amitié est contagieuse, j’ai pris le fléau du syndrome de la lecture. À ce point, j’avais bien des romans dont khalti Khadija me l’avaient acheté quand j’étais petit maintenant cachés au fin fond de mon bureau dont je ne me souvenais plus,  mais je me contentais seulement d’une lecture rapide en parcourant différents textes et articles sur Internet ce qui n’est pas amusant dans son total.

L’été, le ramadan et no-life style life donnaient que mes jours trouvèrent que les nuits blanches étaient un besoin vital pour mon épanouissement virtuel éphémère.. Donc, aujourd’hui après l’adhan du Fajr et après bien entendu l’envie de lire, j’ai ouvert le tiroir supérieure de mon bureau en trouvant des livres poussiéreux pour enfants de la maternelle  (les miens) dont j’ai senti l’odeur qui m’a donné un petit mal aux poumons, esquivant donc j’ai ouvert le deuxième tiroir trouvant deux romans de poche d’Anthony Buckeridge parlant d’un jeune enfant, Bennett et son ami intime Mortimer. Deux titres, Bennett et Mortimer et Bennet prend le train dont j’ai choisi la première œuvre à feuilleté pour m’initier à cette aventure justement pour au moins avoir lu quelque chose pendant mes vacances.

Je ne sais pas si je vais commenter  le roman après lecture à ma guise, cependant cette lecture même dépendra de mon humeur et mon envie de lire, l’gana diali. En tout cas, je ne sais toujours pas où à Rabat se trouve la librairie –الألفية الثالثة– la 3ème Millénaire, question de chercher s’il y a de quoi s’attacher comme lecture.

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